L’histoire des cimetières
Dans la culture européenne, les cimetières structurent le paysage, qu’il soit urbain ou rural. Aujourd’hui désertés, ces lieux sont pourtant d’excellents témoins des croyances et pratiques qui ont marqué l’Histoire.
Poussons la grille du cimetière historique…
Peut-on parler de cimetière préhistorique ?
Pour commencer par une banalité, énonçons l’évidence suivante : qui dit cimetière, dit culte des morts. Inhumer un défunt n’est pas une pratique « naturelle ». Démarche consciente, elle suppose une forme de spiritualité, ou du moins une réflexion sur la mort, apparue dès la Préhistoire. Homo Sapiens, Néandertal, Cro-Magnon, tous ont laissé des traces de rituel funéraire.
Avant d’entrer dans le vif du sujet, faisons un aparté pour clarifier les termes Préhistoire, Homo Sapiens, Néandertal et Cro-Magnon. L’Histoire charrie son lot de clichés (d’un côté, tant mieux, sinon ce blog n’aurait aucun intérêt) et la Préhistoire n’échappe pas à la règle.
Étymologiquement, le préfixe « pré » (prae en latin) signifie « avant ». Préhistoire, c’est donc « avant l’Histoire ». Ok, admettons. Mais l’Histoire, c’est quoi ? L’Histoire, c’est l’apparition de l’écrit. Par conséquent, durant la Préhistoire, l’Homme n’écrit pas. Bon… on sait que toute chronologie a une part d’arbitraire (il n’y a qu’à songer aux représentations diverses et variées du temps historique… le 14 juillet 1789 du calendrier grégorien, c’est le 20 Tamouz 5549 du calendrier juif… pour ne prendre qu’un exemple). Enfin, bref.
Si l’on schématise, la Préhistoire s’étend… Ah non, attendez, là encore, il y a débat… Le début de la Préhistoire, ça se situe quand ? Il y a 7 millions d’années, datation du fossile dit crâne de Toumaï, découvert au Tchad en 2001 ? Il y a 2,8 millions d’années, avec l’apparition des premiers hominidés dits Homo ? Quand on commence à fabriquer des outils, il y a 3,3 millions d’années ?
Et puis… la Préhistoire, même si l’on restreint sa durée au minimum, c’est une période très très longue… Alors, on a essayé de la découper en différentes phases. Vous connaissez sûrement les termes Paléolithique et Néolithique ? Peut-être Mésolithique (période charnière entre le Paléolithique et le Néolithique) ? Mais avez-vous déjà entendu parler de la polémique Préhistoire VS Protohistoire ?
Pour certains préhistoriens, la chronologie devrait être la suivante : Préhistoire (peuples nomades, chasseurs-cueilleurs) -> Protohistoire (peuples sédentaires, éleveurs et agriculteurs) -> Histoire.
Quelle est la différence me direz-vous ? (Non mais ne dormez pas, c’est passionnant !) Et bien, c’est une affaire de perspective. La Protohistoire, c’est un moyen de mettre en avant des facteurs socio-économiques, plutôt qu’un découpage selon des techniques d’outillage. Dans cette définition, la Protohistoire intègre le Néolithique et l’Age des Métaux.
Parce que oui… après le Néolithique, la chronologie habituelle ajoute un Age des Métaux (ou Protohistoire… oui, ils utilisent le même mot, bienvenue en enfer), fragmenté en Age du Bronze (- 2 200) et en Age du Fer (- 800). D’ailleurs… cela revient à dire que l’Antiquité ne commence pas avec l’apparition de l’écriture en – 3 300 mais avec l’avènement de Rome et la chute d’Alésia, en – 52. Voyez cette frise pour y voir plus clair.
Je conclus l’aparté en vous rappelant que « Homo Sapiens » désigne l’Homme moderne (en gros, c’est nous), que Néandertal est une espèce d’Homo aujourd’hui éteinte (même si une bonne proportion d’Européens possède encore quelques gènes hérités des Néandertaliens) et que Cro-Magnon est un groupe d’Homo Sapiens que l’on a retrouvés sur un site en Dordogne, ayant vécus entre – 45 000 et – 12 000. Je schématise pour ne pas faire un article de 52 pages. Si ça vous intéresse, on peut en discuter dans un autre article ou dans les commentaires 😉
Fin de l’aparté. Alléluia.
Revenons-en à notre interrogation de départ : y a-t-il des cimetières à la Préhistoire ?
Avant le Néolithique (qui débute… entre – 10 000 et – 6 000… selon les régions du monde), on sait que l’inhumation existe. Au Proche-Orient, les archéologues ont découvert des vestiges d’inhumation. Le caractère volontaire de ces pratiques est attesté par la bonne préservation des corps, les couches de sédiments qui ont été remuées et les offrandes laissées dans la terre. La particularité de cette première phase d’inhumation, c’est que les tombes n’ont aucun aménagement hors sol. Autrement dit, les tombes n’ont pas d’emplacement marqué, ni de stèles. On parle de champs funéraires.
Dès le Néolithique, il existe une distinction entre les inhumations de corps et les inhumations de cendres dans des urnes funéraires (le feu, c’est vraiment la grosse révolution technologique de la Préhistoire). En Europe centrale se développe une « culture des champs d’urnes », caractérisée par un recours massif à l’incinération. Cette phase fait suite à une pratique centrée autour du tumulus, la « culture des tumuli ».
Recouvrir une fosse creusée dans le sol d’un monticule de terre n’est pas anodin : on cherche à garder en mémoire l’emplacement des corps. Il est d’ailleurs courant pour les populations de l’époque de réinvestir les lieux d’enfouissement des morts à intervalles réguliers, afin d’aligner les crânes et les tibias des ancêtres. Ces tombes peuvent être individuelles ou collectives (on a retrouvé des fosses contenant plus de 500 dépouilles). Pour les amoureux des dates, la culture des champs d’urnes s’étale de – 1 400 à – 900 et celle des tumuli de – 1 600 à – 1 200. A peu près…
N’hésitez pas à aller faire un tour sur le site de l’INRAP, les photos sont particulièrement instructives !
Les Celtes et leurs dolmens ?
Faisons un bond dans le temps pour aller voir ce qui se pratiquait durant l’Antiquité. D’ailleurs, je ne parle ici que d’un territoire restreint (l’Europe de l’ouest) mais on aura l’occasion de parler de cultures différentes dans d’autres articles.
L’Antiquité débute (en général) avec l’apparition de l’écriture, vers – 3 300. En Europe, le territoire est occupé par divers peuples, dits Celtes, qui migrent du centre de l’Europe vers l’ouest à partir de – 1 000 (sachant qu’ils avaient déjà migré de l’Asie vers la Russie en – 2 500). Là-dessus, tuons un mythe tenace : les Celtes n’existent pas. Il s’agit d’une myriade de tribus, qui se rapprochent sur les plans linguistique et culturel, mais qui ne se sont jamais unies sous une même bannière politique. On peut parler de culture celtique mais pas de civilisation celtique.
Bref. Les « Celtes » sont-ils les inventeurs du cimetière ?
Pas vraiment…
Déjà, les tribus celtiques n’ont pas d’idée arrêtée sur le devenir du mort. Inhumation et crémation sont deux pratiques courantes. Parfois, ils placent des offrandes dans les tombes, en particulier lorsque celles-ci abritent des corps d’enfants. Ces derniers et les femmes reçoivent des objets de la vie quotidienne, tandis que les hommes sont enterrés avec des artefacts évoquant la vie sauvage. La culture dite de Hallstatt (- 1 000 à – 450) est particulièrement prolifique dans ce domaine. Dans cette bourgade proche de Salzbourg, en Autriche, on a retrouvé plus de 20 000 artefacts enfouis auprès des morts. Il y a d’autres très beaux sites, comme celui de la tombe de la célèbre Dame de Vix, en Bourgogne.
Après la période dite de Hallstatt, on trouve celle de la Tène, qui doit son nom à un site suisse. C’est la période de l’extension celte maximale, avec l’installation de tribus sur le territoire français, en Espagne, au Portugal, puis jusqu’en Irlande et en Turquie (il va s’en dire que ces frontières n’ont aucun sens à l’époque). On situe la fin de la culture de la Tène avec la conquête de la Gaule par les Romains, même s’il serait plus juste de parler d’acculturation, voire de résistances locales – si vous pensez à un petit village qui résiste encore et toujours à l’envahisseur, c’est normal ;).
Là, vous vous dites : mais pourquoi est-ce qu’elle ne nous parle pas des menhirs, des dolmens et des cairns ? Et bien, une fois de plus, vous allez être déçus. Les Celtes n’ont jamais bâti ce type de monuments. En Europe, la culture mégalithique concerne la période – 5 000 à – 2 000. Or, les tribus celtiques ne s’étaient pas encore déplacées à cette époque. Ce sont donc des peuples dits proto-Celtes qui sont à l’origine de ces pratiques. On reparlera de tout ça dans un prochain article.
Les nécropoles antiques
Prochain arrêt de notre voyage dans le temps : l’Empire romain. Comme pour les Celtes, il n’y a pas de préférence marquée entre l’incinération et l’inhumation (même si la tendance change avec l’influence chrétienne). En revanche, une loi, dite des XII Tables – en fait, le premier corpus de lois romaines écrites, interdit toute pratique funéraire à l’intérieur des cités. Pourquoi ? Pour des questions d’hygiène et, plus spirituellement, pour établir une frontière entre le monde des vivants et celui des morts.
Dorénavant, on regroupe les morts dans des catacombes, lieux de sépultures pour les corps non brûlés, ou dans des hypogées, constructions creusées dans le sol et comportant plusieurs chambres ou salles. Attention, si les catacombes sont une spécificité romaine, les hypogées étaient déjà utilisés par le passé. La seule différence notable entre ces deux types d’agencement funéraire, c’est la superficie. Les catacombes allongent et multiplient les galeries.
Alors que l’étalage de richesses était jusqu’ici intérieur, les Romains commencent à ériger des monuments très travaillés, alignés le long des voies d’accès aux cités. Ceci afin d’être vus par les vivants et célébrés par-delà la mort. De plus en plus, la distinction sociale vient se répercuter dans les constructions funéraires. Le pauvre aura une tombe sans apparat, le plus aisé une stèle et les fortunés un mausolée familial.
Nécropole, au sens étymologique du terme, veut dire : « Cité des Morts » (du grec necros et polis). Chez les Romains, une nette séparation s’opère entre le lieu de culte (le templum) et le lieu d’inhumation. Ce qui est bien la preuve que la place des morts dans l’espace est une affaire de mentalités. Oh, je fais un tout petit aparté pour vous inviter à aller lire cet article, qui aborde l’art funéraire étrusque, encore assez mal connu mais fort intéressant.
L’Antiquité est particulièrement précieuse dans le domaine archéologique car c’est elle qui fournit les premiers épitaphes. Un épitaphe est une inscription sculptée sur les cippes (les stèles en pierre), nous renseignant sur le nom, le statut social, le métier et/ou les faits marquants de la vie d’un défunt. Les Romains empruntent la pratique aux Grecs, passés maîtres dans l’art de l’éloge funèbre.
Pour l’anecdote, citons l’épitaphe de Scipion l’Africain. Général romain célèbre pour ses campagnes en Afrique du Nord, Scipion l’Africain, vers la fin de sa vie, est attaqué en justice par ses détracteurs, qui lui reprochent d’avoir détourné de l’argent public. Si les charges seront finalement abandonnées, Scipion l’Africain, rancunier, refusera d’être enterré dans le tombeau des Scipions, un hypogée dédié à la prestigieuse lignée, situé à Rome, le long de la Voie Appienne. Finalement enterré à Linterne (région de Naples), sur une terre non romaine, il fera graver sur son épitaphe : « Ingrate patrie, tu n’auras pas mes os ».
Pour conclure sur l’Antiquité, évoquons les columbaria. Du grec « columba » (niche de pigeon), le columbarium est, à l’époque romaine, une grande chambre funéraire souterraine où sont aménagées des niches, servant à accueillir les urnes cinéraires. Les niches sont individualisées, fermées par des plaques commémoratives, voire des effigies du défunt. Le columbarium est facilement accessible, même par les classes les plus défavorisées. Ci-dessous, le columbarium de Pomponius Hylas, redécouvert en 1831.
L’ère chrétienne
Le christianisme, qui se popularise dans l’Empire romain aux premiers siècles de notre ère, engendre une révolution dans les mentalités européennes. Au fur et à mesure que son influence grandit, la société se dote de rites funéraires stricts, qu’il convient de respecter, afin d’accompagner au mieux le défunt dans sa dernière demeure. Bien entendu, l’entrée dans le Moyen-Age (Vème siècle de notre ère) ne s’accompagne pas d’évolutions brutales. Sur les 1 000 ans que compte la période, plusieurs pratiques vont se chevaucher.
Déjà, la nécropole antique perdure, au moins jusqu’au VIIème siècle, moment où l’on voit s’estomper l’habitude de placer les défunts dans un sarcophage. A la place, on profère des coffrages en bois ou en tuile. Les coffrages sont enfouis en pleine terre, sans réel souci d’urbanisme (même si un alignement en rangées et orienté est-ouest se généralise peu à peu). Attention, tout le monde n’est pas enterré dans un coffrage. Un caisson de pierre ou un simple drap sont aussi fréquents. Les tombes, rarement marquées d’un signe distinctif et peu à peu dépouillées de mobilier funéraire, sont recyclées avec le temps. Pour ce faire, on laboure les champs contenant des dépouilles, puis l’on place les restes des défunts dans des ossuaires. On ne peut pas encore parler de cimetière.
Petit à petit va s’implanter l’idée que les lieux d’inhumation des saints chrétiens sont des territoires sacrés. Pour les croyants, reposer auprès des martyrs ou des reliques de saints devient un must. On parle d’inhumation ad sanctos (près du saint), c’est-à-dire dans le périmètre sanctifié par les restes des grands hommes et grandes femmes de l’Église. Autre phénomène nouveau, la polarisation, aussi bien des vivants que des morts, autour des monuments chrétiens. Maintenant, c’est l’église qui occupe le centre du village. Les tombes lui sont accolées, les maisons et les commodités (le four, le moulin, etc) s’agglutinent autour d’elle. C’est la naissance du village moyenâgeux.
Bien vite, les autorités doivent réglementer les inhumations ad sanctos, en particulier celles à l’intérieur même des églises… même s’il existera toujours des exceptions pour les hauts dignitaires ecclésiastiques et les nobles laïcs (surtout quand ceux-ci sont à l’instigation d’importants dons). Des textes liturgiques, à partir du Xème siècle surtout, popularisent le terme « cimetière » (qui vient du grec coemeterium, issu du verbe « dormir », le mort attendant le Jugement Dernier). Sans équivoque, le cimetière devient l’extension naturelle de l’église (ce qui va totalement à l’encontre des préceptes romains antiques).
Désormais, le cimetière, comme l’église, est un lieu béni. Terre sacrée et consacrée, l’enceinte du cimetière est un lieu d’asile et de refuge. Inviolable, le cimetière est aussi protégé par la loi étatique. Déjà dans le Digeste (grande œuvre juridique publiée en 533, sous l’impulsion de l’empereur byzantin Justinien Ier), il est dit que le lieu où repose un mort est sacré et inaliénable. Toutefois, cela n’empêche pas une utilisation profane des cimetières, au moins jusqu’au XVIème siècle. On y installe des marchés, on y exécute la justice, on y fait des représentations. La proximité de la mort n’effraie guère.
On l’a dit, pour les chrétiens, reposer auprès d’un lieu de prières est capital. Malheureusement, la pratique a aussi son lot d’injustices. Déjà, le plus pauvre n’a généralement pas droit à une sépulture individuelle, son sort habituel étant celui de la fosse commune. Ceux qui n’ont pas reçu l’extrême-onction (sacrement qui consiste à oindre un catholique sur le point de mourir) n’ont pas accès au cimetière paroissial. Cela inclut les non-catholiques, les suicidés (le droit canonique les a retirés de la liste des exclus en 1983 mais le suicide reste encore très mal vu), les non-baptisés. Les enfants morts avant le baptême bénéficient d’une exception mais la terre où ils sont inhumés n’est pas consacrée (lire cet article très intéressant sur le sujet).
Pour conclure ce très long article (d’ailleurs, dites-moi si le format vous plaît), parlons du XVIIIème siècle, qui marque la transition du cimetière religieux vers le cimetière communal.
Si le cimetière devient communal, il devient donc accessible à tous (protestants y compris). Le XVIIIème siècle, c’est aussi la fin du cimetière intra-muros (même si la tendance est ancienne) et du cimetière ouvert à tous les vents. Dorénavant, les morts reposent hors de la ville, sans la compagnie des vivants. Il est également formellement interdit d’être inhumé à l’intérieur d’une église (à part les exceptions déjà citées). Aux XIXème et XXème siècles, les textes de lois renforcent cet état de choses. Depuis, le cimetière est municipal et tous ses aspects sont codifiés : concessions provisoires, hauteur des clôtures, entretien des tombes…
Enfin, notons que les fosses communes restent autorisées (en cas de catastrophes ou d’épidémies) et que la crémation est réintroduite en France par la loi du 15 novembre 1887.
Si le sujet vous a intéressé, n’hésitez pas à aller lire l’article « Tour du monde des cimetières » 😀
Crédits Images :
-> Cimetière irlandais : Par Zelda F. Scott — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=7348415
-> Cave de las Manos : Par Mariano — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=265811
-> Répartition de l’Homme de Néandertal : Par Nilenbert, Nicolas Perrault III — File:Range_of_Homo_neanderthalensis.png, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=60634820
-> Champ funéraire à Sasbach : Par Photographed by Albärt, fotografiärt im Jülli 2006 — Photographed at Behans near Sasbach am Rhein, Germany, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=1213974
-> Urnes, musée gallo-romain, Belgique : Par http://exploratorium.galloromeinsmuseum.be/Default.aspx?query=search=deeplink%7C/record/uniqid=obj_65921&showtype=record, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=84550945
-> Carte culture de Hallstatt : Par Dbachmann, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=4003285
-> Tombe des Reliefs, Italie : Par Roberto Ferrari from Campogalliano (Modena), Italy — Tomba dei rilievi, CC BY-SA 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=12514881
-> Photo de l’hypogée de Ħal Saflieni : Par Hamelin de Guettelet — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=3787546
-> Les Alyscamps : Par Trajan — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=6695348
-> Le Columbarium de Pomponius Hylas : By Tyler Bell – https://www.flickr.com/photos/tylerbell/4098811207/, CC BY 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=77723647
-> Sarcophage d’Airvault : Par Père Igor — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=74648825
-> Ossuaire de San Bernardino alle Ossa : By Einaz80 – Own work, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=70831785
-> Puckley : Par Brian Toward – https://www.flickr.com/photos/7361952@N03/15701892306/in/photolist-pVwix9
-> Loyasse : By Romainbehar – Own work, CC0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=71569988
2 commentaires
Adeline
Super article. Très bien documenté et en même temps accessible.
Hâte d’en savoir plus sur les proto-celtes et les dolmens etc..
Ai-je besoin de préciser que j’adore Scipion et son épitaphe 😀 ?
AudreyFeather
Merci pour les compliments ! 😉
L’article sur les dolmens arrivera sous peu, promis !
ps : Scipion est notre idole à tous xD